• Le Créateur et son messager, l'homme Jésus ressuscité, existent vraiment. 
• Son enfant, l'homme, fait à son image de liberté, est totalement libre du mal, de la peine et de la mort ou de leur inverse, le bien, le bonheur et la durée.
• Adam ne contrôle pas comme il l'avait espéré le mal que son système a généré, qui frappe partout; le hasard, le malheur et la mort le caractérisent.
• Le mal ou péché et la mort ne forment pas l'irrémédiable sort de l'homme.
• La victoire sur le mal existe en puissance, encore inaperçue, c'est l'âme.
• L'âme ne naît pas avec l'homme. Elle naît de sa bonté. Il faut donc multiplier les hommes bons ou pénitents, qui seuls vaincront le mal et la mort en général, outre qu'ils échappent individuellement aux ténèbres en attendant le Jour.
• Adam, créé immortel d'un mortel préexistant, retourna librement à la mort, se donnant une étrange vocation du malheur. Or, on n'est heureux qu'en étant chair, esprit et âme jamais désunis, mais à cause du mal général on se disloque, la chair souffre et meurt à tout âge, l'esprit se gâte, et même l'âme, si on a été assez bon pour la créer, peine par-delà la mort.
• Le Père souffre avec toute créature qui souffre. Dans la souffrance comme dans l'amour l'homme est bien image du Créateur. La douleur du Père n'est pas dans le sacrifice de la prétendue 2ème personne de la trinité (dogme mythique du "Fils") mais dans la perpétuelle compénétration Créateur/créature.
• La trinité (dogme du Dieu à trois têtes) de la chrétienté n'existe pas.
• Le bien durable ne viendra pas des princes du culte religieux ou du culte politique et de leur loi. Le bien ne viendra que de la renaissance spirituelle par l'amour, la bonté, le pardon, la paix, la liberté et l'intelligence spirituelle.
• Un monde heureux n'a pas de chef, il redonne liberté absolue à tous, à la femme particulièrement, son meilleur agent de paix et de bonheur.
• Le mariage (épousailles) naît de l'amour, non d'un accord. Par le mini-monde qu'il crée et par ses joies il est prophétique du monde changé et de l'éternité.
• Là où l'adultère brise le couple, cellule sociale de base,  le monde se brise.
• Pendant les générations de pénitence et de moisson de pénitents, ceux-ci (petit-reste) resteront habilement dispersés (les îles) pour ne pas offrir prise aux coups du mal massivement organisé contre eux (la raie).
• Le Jour d'Éden revenu ne sera pas une apocalypse décidée par le Père, mais le résultat naturel et logique de la longue lutte d'un petit reste contre le mal.