aux limites de la lumière
perceptible à l'homme, une force d'évocation rare
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Les phrases du Livre, très
brèves, très simples, montrent que le Créateur se méfie du langage
humain compliqué dont les subtilités ont produit les grandes erreurs.
Le Livre est un pont jeté entre Vérité éternelle et
Vérité disparue comme Zoroastre
ou Vérité défaite comme Moïse
remanié et tourné en loi, Jésus
dogmatisé et Muhammad
pas toujours bien compris.
"Les prophètes ont tous entendu le
Créateur
parler de cette façon lapidaire et binaire (une voix et une pensée
s'ajoutant), mais ont dû le traduire en langue populaire. Grâce à la
typographie, la ponctuation, j'ai rendu
transparente
la Parole, montrant ensemble
le son et le sens." (Frère Michel)
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Le
Livre est une mine de mots
et concepts qui tantôt nous
plongent dans l'antiquité biblique comme "J'ai, Je suis" qui
rappelle
"Je-suis-Qui-Je-suis",
tantôt nous propulsent dans
l'absolu nouveau comme l'ha
pour désigner l'âme ou la polone
pour désigner
l'âme collective. Tout en continuant de respecter la liberté donnée à
l'homme d'être pour
ou
contre son Créateur, La Révélation d'Arès déplore l'interminable
masquage du Créateur par le roi
blanc (religion) allié au roi
noir
(politique, industrie, finance, science) — Roi
blanc
et roi
noir, même cuisse! — qui se sont attribué toute
préséance sur terre.
Les pouvoirs terrestres (les princes
du culte religieux ou du culte politique
de L'Evangile Donné à Arès) sont les
conservateurs conscients ou non du mal et de la mort. Pas de retour du
bien sur terre tant qu'ils maintiennent leur emprise.
Une échelle poétique est donnée des âges de l'histoire prophétique,
que couronne Mikal
(Michel) dont la
parole est la
Parole du Créateur et qui a reçu le charisme ou don de
décision — "Tu coupes la
perche courte ou longue" —, le charisme de la mesure
et
du vrai.
Saisissantes sont les références à la création permanente de l'univers
par le Créateur
— Les soleils
sans
cesse multipliés.
Le Livre prédit aussi deux événements alors très proches: Le traité de
paix entre l'Égypte
et Israël et
la guerre
d'Afghanistan,
et un événement sociologique plus
lointain: La fin de la domination des mâles
et des intellectuels, qui
auront beaucoup déçu, et le rôle essentiel et décisif de
la femme
dans le changement du monde en bien et l'avènement du Jour.
Le Livre et
L'Évangile
Donné à Arès
sont tout à fait complémentaires.
© Michel Potay 2008